Crew de Marionnette

Un CREW de personnages étranges, drôles, loufoques, rebelles, des clowns, des marionnettes de toutes sortes et de touts horizons: voilà qui prendra, pendant l’après-midi (à partir de 17:00 h), toute sa place sur la place des jeux de la Plaine.C’est une occasion pour renverser et ré-inventer cet espace dédié aux enfants, l’ouvrir à toutes les générations, et y permettre les rencontres.

SUEñA EL VIEJO ANTONIO (Pinocchiandergraund) 10/06 et 12/06

Deux récits philosophiques, écrits par le Sous-commandant Marcos et interprétés par la marionnette « el viejo Antonio », sage paysan du Chiapas, porte parole de l’esprit d’ un peuple en lutte, et, surtout, grand fumeur de pipe…..

SERAPHIN… (Rindineddha) 10/06

Que se passe-t-il quand un petit clébard décide, malgré les efforts de son maître, de ne plus sortir de son carton tant qu’il n’aura pas débité tout ce qu’il pense de la race humaine? Dialogue d’amour-haine entre un chien et son maître.

DERRIERE LA BARAQUE (Rindineddha) 10/06

Sur le rebord du castelet, au rythme d’une guitare, plusieurs personnages sortent, se promènent, se cachent, s’échappent… et cherchent à trouver leur place, malgré l’esprit de contrôle permanent qui règne derrière la baraque comme dans nos rues…

QU EST CE QU IL FAUT POUR OUVRIR UNE BOITE? (Lola Rennt) 12/06

« Il y a des boîtes. Des boîtes dans lesquelles sont enfermés des paquets d’histoires: de traversées, de chemins, de passages, de vies, de rêves et d’exils. Il y a des murs aussi. Des murs invisibles qui ne cessent de se dresser, de s’étendre, de se répandre tout autour de tout et de cacher la lumière. Et puis il y a ceux qui savent les voir, les reconnaître, et qui ne cessent de chercher des clés pour ouvrir les boîtes et des outils pour abattre les murs… » (d’après « Contrôle d’Identité » et « Mode d’Emploi » d’Alexandra Badéa)

LES POÈTES CA BOITE TOUJOURS UN PEU (Lola Rennt) 12/06

« Il était une petite personne lunatique et lunaire qui avait une drôle de maison, en carton. Elle n’aimait apparemment pas beaucoup les gens, mais elle avait quand même envie de leur raconter, parfois, ce qu’elle était, ce qu’elle aimait ou n’aimait pas. De se raconter, en quelque mots, sur le fil du temps qui passe. Le temps qui traverse la vie, la ville et la rue, le jour et la nuit… »